LE COLLECTIF

Le collectif glacier est le titre du projet dont le but est de se réapproprier nos relations sensibles, pragmatiques, sociales avec les glaciers alpins.
Le moment fort se déroule lors d’une résidence Art & Science qui se déroule sur le glacier de la Girose à côté de la Meije dans les Hautes-Alpes au mois de septembre (voir les résidences). Ce glacier est accessible depuis La Grave (05, France) par téléphérique. Il se situe dans le massif de l’Oisans.
Nous abordons le glacier comme faisant partir du collectif : il est sujet actif dans nos dynamiques relationnelles qui induisent des dimensions esthétiques, de représentations, d’échanges et de réciprocités. 

Qui peut participer ?
Actuellement le collectif est de 6 membres : Natacha Boutkévitch (vidéaste), Laurent Chanel (danseur performeur), Olivier De Sépibus Thomaïdis (fondateur du collectif, artiste), Pierre-Olivier Garcia (chercheur, géographe), Paulo Grobel (guide haute montagne, arpenteur), Sandrine Loncke (anthropologue, vidéaste).

vous êtes intéressé ? Ce collectif cherche à rassembler artistes, chercheurs-ses, scientifiques, alpinistes, montagnard-s-es, préoccupé-s-es, passionné-s-es, vous, les glaciers,faites vous connaître de nous.
Tout un chacun peut prendre part au projet dès lors qu’elle/il partage les préoccupations ici exposées et s’inscrit dans une démarche d’écoute, de partage et de tolérance. Il n’y aucun prérequis à votre présence. Le Collectif Glacier ce n’est pas une réunion d’expert, mais le brassage des idées, des imaginaires, des actions qui prévalent.
Veuillez envoyer un mail à cg@collectifglacier.net

Est-ce une association ?
Le collectif Glacier est une une association de faite, ouverte, auto-gérée.
Elle est portée par l’association Du Bruit dans l’image.

Quelques enjeux ?
> partager et mélanger les savoirs, les approches, les affects, les passions , les désirs, les peurs, les envies sur la question de la disparition des glaciers alpins rejoignant les grands enjeux écologiques de notre temps :
> Réaliser un saut qualitatif et dans le but de changer de paradigme : adopter le point de vie des glaciers alpins.
> L’œuvre n’a pas de finalité, elle est le résultat de processus mis en place par toutes les personnes participantes.
> C’est in Situ, sur le glacier que se réalisent réflexions, expérimentations, explorations, réalisations, …

Le projet de résidence de création In Situ
sur le glacier de la Girose en septembre 20121est soutenu par le
Conseil Général des Hautes-Alpes
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